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La queue d'un Mosquito.
1943
Downsview, Ontario, Canada
ATTACHEMENT DE TEXTE


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Le train d'atterrissage du Mosquito était la simplicité même. Il a été délibérément conçu pour éviter d'usiner autant que possible. Les jambes du train d'attérrissage étaient complètement interchangeables, consistant de rien de plus que des morceaux de métal contenant une pile de blocs en caoutchouc. Les grands pneus à basse pression aidaient à absorber une partie du choc. Ce système sans entretien fonctionnait très bien, et était encore utilisé sur le Twin Otter quelques décennées plus tard avec des blocs Néoprène. En revanche, le Moskito allemand avait un train d'attérrissage inutilement complexe qui faisait souvent faillite. Le Ta 154 était assez rapide sans armes pour attraper un Mosquito de Havilland, mais lorsqu'il était bien équipé. Il n'était pas assez vite. Il manquait le potentiel pour être développé davantage. Les ingénieurs de Focke Wulf se sont plaints qu'ils ne pouvaient pas obtenir une aile assez lisse. Les premiers Mosquitos n'étaient cependant pas sans difficultés. Les nacelles de moteur courtes originales ont causé la vibration de stabilisateur à cause de la mauvaise circulation d'air. La roue de la queue était un point faible dans la conception et n'a jamais été amélioré. Le dispositif d'échappement était problématique jusqu'à la fin. Néanmoins, de Havilland a produit un gagnant parce qu'ils avaient la patience et la capacité de s'attaquer aux problèmes inévitables du développement.