Les années 1930 sont celles de la résignation et de la précarité. On est à la recherche de solutions nouvelles. Les mères déploient des trésors d'imagination pour raccommoder les vêtements et transformer ceux des aînés afin d'en habiller les cadets.
Dans les limites imposées par la mode, les femmes retouchent les vêtements d'une saison à l'autre et s'emploient à les accorder à des usages divers, d'où une grande fantaisie dans l'habillement. On se pare, on raffine, on rajoute à sa tenue des broderies, des brillants, des riens…La machine à coudre prend alors toute son importance.