«Les journées de travail, ça bourdonnait à partir de sept heures moins le quart, sept heures. Les filles avec leur sac d'école, on croisait les ouvriers avec leur boîte à lunch, les gars de l'école Maisonneuve. Certains travailleurs partaient à pied jusqu'aux usines Angus ou à la biscuiterie Viau. Tout ce monde-là se croisait. Quand on entendait les sirènes des compagnies, c'était le temps d'aller souper. »