Après la guerre, des dizaines de «camions à patates» ou «voitures à frite» stationnent aux coins des rues pour y vendre hot-dogs et frites. En mai 1947, la Ville de Montréal refuse désormais d'émettre des permis de vente aux marchands ambulants invoquant le non-respect des règlements de la circulation et de salubrité.