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Mme Blanchard et son époux devant le magasin général et l'atelier en 1943.31 juillet 2000
Caraquet, Nouveau-Brunswick, Canada
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Marie-Louise Allard Blanchard et son époux devant l'immeuble qui abritait autrefois le magasin général et le centre d'artisanat - vers 194316
Lors du Congrès eucharistique de Caraquet 195013 août 1993
Caraquet, Nouveau-Brunswick, Canada
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Lors du Congrès eucharistique - 1950À gauche: le magasin général de son mari construit en 1905 dont l'atelier occupe une partie du bâtiment entre 1933 et 1959. Ce bâtiment est aujourd'hui démoli.
À droite: l'atelier occupé de 1919 à 1933. Plus tard le bâtiment sera occupé par la Caisse populaire, la Fédération des caisses et aujoud'hui par un magasin d'éléctroménagers.
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La promotion de l'artisanatMarie-Louise Allard Blanchard enseigne les techniques du métier. À l'atelier jusqu'à huit métiers tissent la laine et le lin, dont deux sont motorisés dès 1920. Elle donne également du travail à des ouvrières possédant leur propre métier à tisser.
Dès 1921, elle participe à des expositions au Nouveau-Brunswick et dans d'autres provinces canadiennes. Elle est présente aux États-Unis, notamment à Boston et à New York. Au cours de sa carrière elle reçoit de nombreux prix.
En plus du tissage, les tapis crochetés atteignent une popularité enviable. On en trouve des exemplaires dans les collections de grandes compagnies, notamment chez General Motors (usine d'automobiles de marque Pontiac) qui possède un tapis crocheté représentant le chef indien Pontiac.
Nommée membre à vie au conseil provincial de l'Institut féminin en 1935, elle accepte la direction du Conseil au niveau provincial.
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MarieLouise Allard Blanchard pose fièrement devant son métier mécanisé vers 1930Juin, 2000
Caraquet, Nouveau-Brunswick, Canada
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Marie-Louise Allard Blanchard pose fièrement devant son métier mécanisé - vers 1930« Voici quelques détails sur les travaux qui s'accomplissent dans cet atelier: un employé s'occupe du fonctionnement des deux métiers mécaniques, l'un pour le tissage des couvertures de laine, c'est le plus grand et le plus petit pour l'étoffe et le drap. Le grand métier peut faire jusqu'à deux verges et demie de l'heure et le petit fait jusqu'à cinq dans le même espace de temps. » (Marie-Louise Allard Blanchard, extrait d'une causerie - le 10 novembre 1931)
Cette photographie a été réalisée à partir de deux clichés pris dans son premier atelier.
Courtoisie de Léo Blanchard, Moncton, Nouveau-Brunswick, Canada
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Madame Blanchard devant son kiosque lors d'une exposition au Massachusetts vers 193012 novembre 1976
Caraquet, Nouveau-Brunswick, Canada
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Madame Blanchard devant son kiosque lors d'une exposition au Massachusetts - vers 1930En regardant le tapis «hooké» ( à gauche ), madame Elmire Dugas raconte avec émotion : « Ces petites fleurs là, Emma Mazerolle faisait les feuilles, moi je faisais les fleurs. Ces petites fleurs là, fallait qu'on fasse ça au point de pétale, creusées avec des petits ciseaux. » ( Extrait d'un entretien entre Elmire Dugas Daigle, Berthilde Mourant et Corinne Jean, le 29 avril 1999 à Pointe-Sapin, N.B.
Photo: P.E. Généreux E Lynn Mass.
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Groupe de femmes de l'Institut féminin vers 19255 novembre 1976
Caraquet, Nouveau-Brunswick, Canada
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Groupe de femmes de l'Institut féminin - vers 1925Au centre, madame Blanchard
Photo: Harvey Studio, Fredericton et Woodstock. N.-B.
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Certificat de membre à vie accordé à Mme Blanchard par l'Institut féminin du N.-B., 1935.26 juin 2001
Caraquet, Nouveau-Brunswick, Canada
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Certificat de membre à vie accordé à madame Blanchard par l'Institut féminin du Nouveau-Brunswick - 1935L'Institut féminin, autrefois connu sous le nom de l'Institut des dames, ouvre un local à Caraquet, le 22 avril 1919. Madame Henri H. Duguay en fut la première présidente.
Prêt de Berthilde Mourant, Caraquet, Nouveau-Brunswick, Canada
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Les étapes de traitement du lin9 novembre 1976
Caraquet, Nouveau-Brunswick, Canada
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