1

L'un des Empress à son quai de Québec près du Bassin Louise
1910
Port de Québec


Crédits:
Archives nationale du Québec à Québec

2

En raison de son tirant d'eau maximal de 9,4 mètres, l'Empress of Ireland ne peut remonter le Saint-Laurent plus loin que le port de Québec. La profondeur du chenal maritime en amont de Québec (9 mètres) ne permet pas, à cette époque, la navigation des grands paquebots jusqu'au port de Montréal.

3

Le port de Québec avec vue sur le Bassin Louise et l'un des Empress à quai.
1910
Port de Québec


Crédits:
Archives nationales du Québec à Québec

4

L'Empress of Britain, navire jumeau de l'Empress of Ireland, est à quai à Québec.
1910
Port de Québec


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Archives nationales du Québec à Québec

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Le 28 mai 1914, les marins larguent les amarres à 16 h 27. À bord du paquebot, qui s'apprête à effectuer sa 192e traversée de l'Atlantique, 1 477 personnes prennent place. Le capitaine Henry George Kendall en est à son premier voyage aux commandes de l'Empress of Ireland à partir de Québec.

Comme pour tous les navires de plus de 30 mètres, la navigation sur le fleuve doit se faire avec l'aide d'un pilote qui assiste le capitaine. La présence de nombreuses îles disséminées le long de ce parcours, la faible profondeur de certains chenaux, les courants fréquents et la forte amplitude des marées exigent une attention de tous les instants.

Comme il le fait depuis 8 ans, le pilote Adélard Bernier va guider le paquebot à travers les 157 milles nautiques qui séparent Québec de Pointe-au-Père.

6

L'Empress of Ireland à Québec
1910
Port de Québec


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Archives nationales du Québec à Québec