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La vie étudiante

L'éducation chez les Ursulines, c'est bien plus que les heures passées sur les bancs d'école. C'est également un éventail d'activités sociales, culturelles et sportives qui permettent le plein épanouissement des jeunes filles. Qu'il s'agisse de l'encadrement fournit aux pensionnaires, des moments accordés à la détente et au divertissement, de l'implication des élèves dans des regroupements à vocation religieuse ou sociale, toutes ces composantes de la vie étudiante favorisent le sentiment d'appartenance à la communauté de l'école. Tous, élèves, enseignant(e)s, directrices et directeur, sont appelés à se réaliser à travers ces activités, soit y participant, en les organisant ou encore en les supervisant.

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sous-titre
Date non disponible

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Pensionnaire dans les années 1950-1960
Date non disponible
Collège Marie-de-l'Incarnation, Trois-Rivières, Québec, Canada

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Pensionnaire dans les années 1950-1960

"Moi, j'étais pensionnaire. Dans ce temps-là pensionnaire, c'était vraiment pensionnaire. Pas comme aujourd'hui. On sortait le dimanche de 11h45 à 16h45 parce qu'il fallait revenir pour les vêpres, le dimanche soir. Et, le congé, c'était une fois par mois : le vendredi soir allé au dimanche 17h, pour les vêpres. C'était une belle époque. Moi, j'ai juste des bons souvenirs de cette époque-là. J'aimais être pensionnaire. Même quand j'allais chez moi, j'étais contente d'aller chez moi, mais j'étais contente de revenir au collège parce qu'on avait toute notre vie ici."

Hélène Bourassa
Étudiante au CMI de 1958 à 1962

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Les demi-pensionnaires
Date non disponible
Collège Marie-de-l'Incarnation, Trois-Rivières, Québec, Canada

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Les demi-pensionnaires

"Moi, j'ai été demi-pensionnaire. On dînait au collège. On rentrait le matin. Et puis, moi, je suis de l'époque où y avait pas d'autobus scolaire. Alors, on s'organisait avec notre transport, ou les parents venaient, on prenait l'autobus ou on venait à pied tout simplement."

Louise Gabias
Étudiante au CMI de 1961 à 1971

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Trois quarts
Date non disponible
Collège Marie-de-l'Incarnation, Trois-Rivières, Québec, Canada

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Les trois quarts (3/4) pensionnaires

"Dans mon temps, il y avait des trois quarts (¾). Eux autres allaient dîner chez elles. Mais, elles couchaient ici. Pis, le restant, elles soupaient, couchaient, puis déjeunaient ici."

Louise Gabias
Étudiante au CMI de 1961 à 1971

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Dortoir
1947
Pensionnat Sacré-Cœur, Trois-Rivières, Québec, Canada

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Dortoir
1933

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L'évolution du dortoir
Date non disponible
Collège Marie-de-l'Incarnation, Trois-Rivières, Québec, Canada

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L'évolution du dortoir

"Quand j'ai commencé à être pensionnaire, j'étais en 6e année. Pis à l'époque, on était au dortoir. C'était un dortoir avec … T'avais des pôles, c'était des petits rideaux que t'attachais tous les matins. Tu pouvais les fermer seulement quand c'était la période de ta toilette. Tu partais avec ton bassin, aller chercher ton eau. Tu fermais tes rideaux, tu faisais ta toilette. Par la suite, c'était lent, tout le monde se couchait en même temps. On avait droit à de la lecture. La religieuse nous lisait une histoire, entre autres, ce que je me souviens "Les quatre filles du docteur Marsh". Ça nous permettait dans le fond de se détendre parce que c'est pas évident quand t'es quarante (40) dans la même pièce pour dormir. C'est des lits de fer, fait que ça craque un petit peu. Pis, tu en as une qui a la grippe, fait que ça tousse beaucoup. Ça, j'ai vécu ça pendant deux (2) ans. Après, j'ai transféré, on appelait ça la nouvelle partie … Je sais pas si les jeunes appellent ça comme ça encore aujourd'hui, mais dans le temps, c'était la nouvelle partie. Il y avait un dortoir, mais avec alcôves. Ça, c'était nouveau, on avait juste un rideau, on avait trois (3) murs de bois. C'était différent, on avait un peu plus d'intimité. Après ça, en secondaire 3, on avait droit à nos chambres."

Lucie Morinville
Étudiante au CMI de 1965 à 1975

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Dortoir
1933
Grand-Mère, Québec, Canada

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Dortoir
1947