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Les locaux du Progrès du Saguenay
1929
Saguenay Lac Saint Jean

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Laure Gaudreault commença donc comme journaliste au journal Le Progrès du Saguenay à Chicoutimi. Le bâtiment regroupait à la fois les bureaux et les presses. Ce quotidien fut fondé en 1887 pour devenir au cours de l'année 1932 un hebdomadaire. Il se nommera par la suite Progrès-Dimanche.

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Article du Progrès du Saguenay : Changement !
4 novembre 1927
Saguenay Lac Saint Jean

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Les femmes journalistes étaient rares à cette époque. Elles ne bénéficiaient pas de véritable statut. Laure Gaudreault rédigea dans un premier temps des billets dans la rubrique " Au Foyer " sous le pseudonyme de Cousine Laure. Cette rubrique s'adressait principalement aux femmes et regroupait le courrier du lecteur.

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Article du Progrès du Saguenay : Pour les enfants
4 janvier 1928
Saguenay Lac Saint Jean

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Remarquant l'intérêt de sa rubrique du courrier des lecteurs, Laure Gaudreault s'attacha à un nouveau lectorat : les enfants. Elle créa une nouvelle rubrique " Le coin des enfants ". Elle signait alors sous le pseudonyme de Tante Cécile.

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Rubrique du Progrès du Saguenay : Au Foyer
6 février 1932
Saguenay Lac Saint Jean

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De 1927 à 1932, dans ses articles, Laure Gaudreault traitait de sujets divers tels que les femmes, la famille, la place de la religion et l'enseignement.

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Article du Progrès du Saguenay : Ce salaire minimum
9 avril 1936
Saguenay Lac Saint Jean

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Chargée de répondre aux lecteurs, Laure Gaudreault s'intéressa particulièrement aux lettres de ses lectrices-institutrices. Les premières lettres parlaient des conditions de travail, les autres demandaient des conseils. Ce fut vers 1932, lorsqu'elle reprit son métier d'institutrice, que son combat se déclara.

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Article du Progrès du Saguenay : Lettre ouverte aux institutrices
22 octobre 1936
Saguenay Lac Saint Jean

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La passion du métier d'institutrice était toujours vivante pour Laure Gaudreault; le Progrès du Saguenay était une tribune pour elle. Elle répondait à toutes ses lectrices en leur donnant des conseils pour l'amélioration de leurs conditions de travail et des méthodes pédagogiques. En 1936, lors de la création de la 1ère l'Association Catholique des Institutrices Rurales (A.C.I.R.) à La Malbaie, elle encouragea les institutrices à former une association dans leur district.

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Les toilettes dans une école de rang du Comté de Rouville
1948
Québec

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Les conditions de travail des institutrices dans les années 1940 avaient peu évolué. Par exemple, dans cette école de rang du Comté de Rouville, les toilettes étaient au fond d'un couloir et ne répondaient pas aux conditions d'hygiène des villes.