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On dort au chaud...les couvertures de laine tissée

Les petits métiers exigent que l'on couse deux laizes afin d'obtenir la largeur du lit. On doit alors prendre soin de répéter les mêmes motifs afin de créer un effet d'ensemble.

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Couverture tissée en coton et laine
1 juin 1972
Caraquet, Nouveau-Brunswick, Canada

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Couverture tissée en coton et laine

Cette couverture a été tissée par Priscille Godin, mariée à Michel Boudreau de Caraquet. Elle l'a offerte à sa fille Béatrice dans les années 1850.
Les fils de chaîne sont de coton de couleurs différentes. La trame est réalisée à partir de bandelettes exceptionnellement fines, taillées dans du coton blanc. Elle est agrémentée de bandes de laine rouge, beige, jaune et bleu foncé avec des lignes exécutées à la planche et habilement disposées pour créer l'effet d"une bordure festonnée ornant les côtés. Cette couverture a été sélectionnée pour la publication L'art des étoffes, publiée par le Musée des Beaux-arts du Canada (anciennement la Galerie nationale du Canada).
Don de Monsieur Martin J. Légère, Caraquet, Nouveau-Brunswick, Canada

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Les couvertures de laine tissée avec de la laine recyclée

« Les couvertures les plus communes étaient cependant tissées en laine
produite des «défaisures» de vieux vêtements, cardée, puis mélangée à
de la laine neuve » . (source: Chevrier, Cécile. Les défricheurs d'eau, Village historique acadien, 1978, p.33.)