Les Belles des pommes de Lake Country : une exposition à l’initiative de Lake Country Museum & Archives. Applebox Belles: Les femmes des stations fruitières de Lake Country
La première tentative de syndicalisation des travailleurs des stations fruitières intervient dans les années 1930; elle n’aboutit pas en raison de l’excédent de main-d’œuvre.
La ligne de chemin de fer passait devant l’usine de Winfield.
Le magasin Gleed d’Okanagan Centre pendant la Grande Dépression.
La Vernon Fruit Union exploite une station fruitière à Oyama entre 1913 et 1974.
De gauche à droite: inconnu, Malcolm Douglas, inconnue, inconnue, Ivy Fallow, J. W. Cole, Charlie Draper, inconnue, Cliff Fallow, Alice Crowder, Sadie Rutt, Mme Rutt.
Après avoir rempli une caisse, chaque employée tamponne son numéro sur la boîte. C’est en fonction de ce numéro qu’elle sera payée.
Les Belles travaillent en général dix heures par jour. Les préposées au triage sont payées à l’heure et gagnent moins de 15 $ par semaine.
La première école d’apprentissage est ouverte aux femmes de la région à l’hiver 1914 dans la station fruitière du Kelowna Grower’s Exchange. Les écoles d’apprentissage sont opérationnelles dans […]
Les employés de la Vernon Fruit Union et leurs familles en 1914. À l’arrière: Winnie Brown, Mme Curfoot, Charlie Phillips, Alec Philips, Sam Tyndall Au premier rang: Floyd […]
En 1911, l’Okanagan compte environ un million de pommiers. Des stations fruitières s’ouvrent dans toute la vallée et, au cours des cinquante années qui suivent, au moins vingt […]
Jack Seaton ouvre sa première station fruitière en 1919, près de son verger de Camp Road.
Robert Allison conditionnant des pommes dans son verger d’Oyama, en 1925.