Le marché aux pommes

L’Opinion publique, Vol. 11, no 46 (11 novembre 1880), p. 550
Collection Musée de la mémoire vivante, fonds Léon Trépanier
Dans les années 1850 et les suivantes, les fruits qui se conservent bien sont vendus aux marchands et marchés publics. Les pommes sont les fruits les plus faciles à transporter. Elles sont placées dans des barils de bois dès la cueillette aux vergers de la Côte-du-Sud. On place une rangée de pommes, un couche de papier journal et ainsi de suite jusqu’à ce que le baril soit rempli complétement. Ces barils sont chargés sur des goélettes et partent vers les marchés publics de Québec et même plus à l’ouest.
Le dessinateur a pris soin d’identifier quelques variétés, dont la Fameuse et la Spy.