Le grand verglas de 1998 : immersion dans le noir et le froid Le grand verglas de 1998 : immersion dans le noir et le froid Musée du Haut-Richelieu
Une grande partie des militaires déployés à Saint-Jean-sur-Richelieu sont logés à la garnison, dans la Mégastructure, dont les arbres n’ont pas été épargnés.
Des militaires en action pour enlever les branches des espaces publics.
Les monteurs de ligne travaillent de longues heures par jour à rebrancher les abonnés.
Les monteurs de ligne travaillent à faire passer l’électricité sur le pont Gouin pour éclairer les deux rives du Richelieu.
Une équipe de monteurs de ligne de New York travaillent côte à côte avec Hydro-Québec, 24 janvier 1998.
Les équipes d’Hydro-Québec travaillent de 12 à 16 heures par jour pour rétablir le courant le plus rapidement possible, 22 janvier 1998.
Les monteurs de lignes qui reconstruisent le réseau dans une campagne du Haut-Richelieu.
Des équipes américaines sont à l’œuvre à Lacolle.
Les monteurs de ligne travaillent de concert pour rétablir le courant le plus rapidement possible.
Le maire, Miroslaw Smereka, discute avec des militaires sous l’œil attentif de Robert Cantin, commandant de la garnison.
La rue Mott est fermée en raison des fils qui pendent, rendant le passage sur la rue très dangereux.
Chanceux étaient ceux qui réussissaient à se procurer une génératrice pendant la crise.