Le grand verglas de 1998 : immersion dans le noir et le froid Le grand verglas de 1998 : immersion dans le noir et le froid Musée du Haut-Richelieu
Le maire de Saint-Jean-sur-Richelieu, Myroslaw Smereka, est très en demande. Il donne ici une entrevue dans l’entrée du Complexe sportif Claude-Raymond où se trouve le centre de coordination […]
Lacolle met en place une solution temporaire bien spéciale: 2 grosses locomotives produisent l’électricité pour le village.
Des écoles sont transformées pour loger des sinistrés. On installe des lits dans les classes et dans le gymnase.
Le gymnase de l’école Des Prés-Verts accueille également son lot de résidents. Ces centres laissent bien peu de place à l’intimité.
Les classes sont aménagées pour accueillir des lits à l’école Des Prés-Verts, Saint-Jean-sur-Richelieu.
Ce pylône n’est pas passé loin de l’école secondaire Marcellin-Champagnat, transformée en centre d’hébergement.
La circulation se complique alors que les poteaux électriques tombent dans les rues. Un simple trajet e voitures devient un parcours à obstacles, parsemé de détours.
La glace qui s’accumule sur les surfaces est à l’origine de nombreux bris. Le poteau électrique repose ici sur de grands arbres, les fils emmêlés dans leurs branches.
Les conditions sont difficiles pour les journalistes qui visitent la région.
Les poteaux et les fils électriques tombés rendent impossible l’accès sécuritaire à cette rue.
Des bûcherons arrivent de partout au Québec pour prêter main forte aux sinistrés. Ils coupent le bois qui sera distribué gratuitement à la population.
Les citoyens peuvent s’approvisionner gratuitement en bois pour se chauffer.