De défricheur à premier ministre : l’histoire seigneuriale et villageoise de Sainte-Anne-de-la-Pérade De défricheur à premier ministre : l’histoire seigneuriale et villageoise de Sainte-Anne-de-la-Pérade Domaine seigneurial Sainte-Anne
Ce pont a été érigé sur la rivière Sainte-Anne après l’éboulis de 1894. Il a été emporté lors la débâcle des glaces en 1936.
Les habitations coloniales sont assez rudimentaires et plusieurs doivent se contenter d’installations fort simples, malgré le fait que la plupart des familles ont plusieurs enfants.
L’établissement des premiers colons est fort rudimentaire et exige de durs travaux de défrichage que suppose l’environnement forestier.
La plupart des premières chapelles construites dans la colonie étaient très modestes, de petites dimensions et bâties à partir de billots de bois.
En vertu du régime seigneurial, le seigneur était tenu de faire construire un moulin sur les terres qui lui étaient concédées lors de la première année d’occupation. En […]
Les maisons des habitants étaient rudimentaires et peu meublées, comme le laisse voir cette illustration représentant la cuisine de Michel Roy.
La gare de Sainte-Anne-de-la-Pérade a été construite en 1877. Elle est inscrite au répertoire des lieux patrimoniaux du Canada depuis 2007 et y est désignée gare ferroviaire patrimoniale […]
En 1979, les religieuses vendent leur couvent. Malheureusement, il est détruit par les flammes l’année suivante.
Les communautés religieuses ont longtemps eu la charge de l’éducation des enfants. À une certaine époque, chaque petit village avait son couvent.
En 1901, six religieuses assurent l’éducation d’une centaine de jeunes filles.
La construction de l’Église Sainte-Anne a commencé en 1856,pour se terminer en 1869. Les plans de cette nouvelle église avaient été conçus par l’architecte montréalais Casimir Coursolles.
La crypte de l’église Sainte-Anne a accueilli jusqu’en 1947 plus de 180 dépouilles.