De défricheur à premier ministre : l’histoire seigneuriale et villageoise de Sainte-Anne-de-la-Pérade De défricheur à premier ministre : l’histoire seigneuriale et villageoise de Sainte-Anne-de-la-Pérade Domaine seigneurial Sainte-Anne
Ce pont a été érigé sur la rivière Sainte-Anne après l’éboulis de 1894. Il a été emporté lors la débâcle des glaces en 1936.
En 1681, la région est divisée en trois seigneuries: La Nauraye, Sainte-Anne et Sainte-Marie, situées de part et d’autre de la rivière Sainte-Anne.
Les habitations coloniales sont assez rudimentaires et plusieurs doivent se contenter d’installations fort simples, malgré le fait que la plupart des familles ont plusieurs enfants.
Vers 1681, de nombreuses terres ont déjà été concédées à plus d’une trentaine de colons le long de la rivière Sainte-Anne.
L’établissement des premiers colons est fort rudimentaire et exige de durs travaux de défrichage que suppose l’environnement forestier.
Au 17e siècle, on utilisait une gamelle en bois pour se nourrir lors d’un voyage en bateau ou en canot, mais celle-ci était rarement utilisée pour le service […]
La zone ombragée indique les terres qui étaient déjà concédées dans les seigneuries de Sainte-Anne et Sainte-Marie en 1681.
Le commerce avec les membres des Premières Nations est fréquent à l’époque et ces rencontres fournissent l’occasion d’échanger fourrure, viande, mais aussi de l’eau-de-vie, ce qui est alors […]
Plusieurs échanges avec les membres des Premières Nations ont lieu à l’embouchure du Fleuve Saint-Laurent et à l’Île Saint-Ignace. La ligne rouge indique le parcours effectué par les […]
L’établissement sur une terre en Nouvelle-France implique d’abord de défricher le territoire. C’est une tâche ardue, ce qui explique que certains colons aient de la difficulté à défricher […]
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Comme le commerce d’alcool avec les membres des Premières Nations est interdit, plusieurs habitants, dont Michel Gamelain et Jean Lemoyne, ont été condamnés à 50 livres d’amende et […]