De défricheur à premier ministre : l’histoire seigneuriale et villageoise de Sainte-Anne-de-la-Pérade De défricheur à premier ministre : l’histoire seigneuriale et villageoise de Sainte-Anne-de-la-Pérade Domaine seigneurial Sainte-Anne
L’établissement des premiers colons est fort rudimentaire et exige de durs travaux de défrichage que suppose l’environnement forestier.
Le commerce avec les membres des Premières Nations est fréquent à l’époque et ces rencontres fournissent l’occasion d’échanger fourrure, viande, mais aussi de l’eau-de-vie, ce qui est alors […]
L’établissement sur une terre en Nouvelle-France implique d’abord de défricher le territoire. C’est une tâche ardue, ce qui explique que certains colons aient de la difficulté à défricher […]
La culture des champs est un travail difficile qui demande de longues heures, c’est pourquoi même les épouses y participent.
En vertu du régime seigneurial, le seigneur était tenu de faire construire un moulin sur les terres qui lui étaient concédées lors de la première année d’occupation. En […]
Les maisons des habitants étaient rudimentaires et peu meublées, comme le laisse voir cette illustration représentant la cuisine de Michel Roy.
John Jones Ross épousa Arline Lanouette en 1854 à Champlain. Le couple habita à Sainte-Anne-de-la-Pérade jusqu’au décès des deux conjoints, à quelques semaines d’intervalle, en 1901.
La rivière Sainte-Anne est l’une des marques de commerce de la municipalité.
La municipalité de Sainte-Anne-de-la-Pérade compte aujourd’hui environ 2000 habitants.