La sombre destinée d’un village minier : Roc-d’Or la mal-aimée La sombre destinée d’un village minier : Roc-d’Or la mal-aimée Société d'histoire de Malartic
Déménagement d’un bâtiment de Roc-d’Or vers Malartic au printemps 1940. Bien que quelques bâtiments aient été déménagés auparavant, comme l’Hôtel St-Louis, les édifices de Roc-d’Or sont surtout déménagés […]
En plus d’être choisi comme maire de Malartic en 1939, William B. Hetherington travaille depuis 1934 comme surintendant de la construction de la mine Canadian Malartic. Il supervise […]
La mémoire populaire de Malartic a longtemps attribué la responsabilité du démantèlement de Roc-d’Or à cet ecclésiastique. Arrivé à Malartic en décembre 1936, le curé Joseph-Albert Renaud est […]
Au milieu des années 1930, afin de mieux réglementer la création des nouvelles villes minières, le gouvernement du Québec met en place la division des villages miniers. En […]
Avant le développement de Malartic, la grande majorité des nouveaux venus qui sont accompagnés de leur famille, même les mineurs, n’ont simplement pas d’autre choix que de s’installer […]
À l’origine, au moins une partie de la propriété souterraine des terrains de Roc-d’Or est détenue par un certain G. St-Louis. Toutefois, en 1936, une modification de la […]
Dans un premier temps, le campement minier de la Malartic Gold Mines est tout à fait sommaire. Toutefois, à partir de 1927, lorsque l’exploration souterraine est entreprise, il […]
Après la construction du chemin de fer, le gouvernement provincial, aidé par le clergé catholique, veut encourager des familles à s’installer en Abitibi. Des propagandistes de la colonisation, […]
C’est la construction du chemin de fer National Transcontinental qui permet l’ouverture de l’Abitibi à la colonisation. À partir de 1912, les trains commencent à circuler et les […]