La sombre destinée d’un village minier : Roc-d’Or la mal-aimée La sombre destinée d’un village minier : Roc-d’Or la mal-aimée Société d'histoire de Malartic
En plus d’être choisi comme maire de Malartic en 1939, William B. Hetherington travaille depuis 1934 comme surintendant de la construction de la mine Canadian Malartic. Il supervise […]
La mémoire populaire de Malartic a longtemps attribué la responsabilité du démantèlement de Roc-d’Or à cet ecclésiastique. Arrivé à Malartic en décembre 1936, le curé Joseph-Albert Renaud est […]
Au milieu des années 1930, afin de mieux réglementer la création des nouvelles villes minières, le gouvernement du Québec met en place la division des villages miniers. En […]
Avant le développement de Malartic, la grande majorité des nouveaux venus qui sont accompagnés de leur famille, même les mineurs, n’ont simplement pas d’autre choix que de s’installer […]
À l’origine, au moins une partie de la propriété souterraine des terrains de Roc-d’Or est détenue par un certain G. St-Louis. Toutefois, en 1936, une modification de la […]
Après la construction du chemin de fer, le gouvernement provincial, aidé par le clergé catholique, veut encourager des familles à s’installer en Abitibi. Des propagandistes de la colonisation, […]
C’est la construction du chemin de fer National Transcontinental qui permet l’ouverture de l’Abitibi à la colonisation. À partir de 1912, les trains commencent à circuler et les […]