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Les paysages urbains de l’Ontario rural

Un paysage de rue contemporain superposé à une poto noir et blanc d'une caserne de pompiers, une maison et un bureau de presse.

Juniper Island (la photographie originale : c. 1925 combiné avec une photographie moderne c. 2017)

Les premiers paysages urbains de l’Ontario rural sont rugueux : les maisons et les magasins sont disséminés parmi les arbres et les souches. Les rues principales sont boueuses jusqu’aux routes de graviers MacAdam deviennent populaires au vingtième siècle. Les premiers villages y comprennent des meuneries, une taverne (aussi l’auberge), un forgeron et un magasin.

Une photo en noir et blanc d'une famille sur une véranda superposée à une image contemporaine de la maison

F. Kelly (la photographie originale: c. pré-1916 combinée avec une photographie moderne: 2017)

Pour la deuxième génération, les villages ont une variété de magasins et de services. Des trottoirs en bois sont mieux que des chemins boueux, même s’ils ont besoin de beaucoup de réparations.

Scènes de rue: à gauche, une photo contemporaine, à droit, la même rue en 1978.

La rue Colborne, à Fenelon Falls (la photographie originale c. 1978 combinée avec une photographie modern: 2017)

Les premiers bâtiments urbains sont très inflammables. Parce qu’ils sont faits de bois avec la chaleur du bois et les lanternes à huile, il y a souvent des feux terrifiants. Si un bâtiment prend feu, les brigades de seau luttent pour empêcher le feu de se propager aux bâtiments avec les bardeaux de cèdre. A la fin du XIXe siècle, les villages obtiennent les camions de pompiers à vapeur, qui aident à protéger le centre-ville, mais ne sont pas portables. Les feux peuvent détruire les pâtés de maison et mêmes des villes entiers. Pendant l’un des derniers enfers à Kinmount (1942), Fenelon Falls envoit son nouveau camion de pompier, mais il se brule au bord de la rivière Burnt pendant qu’il fait le plein. Avec l’avènement de pompiers, la maçonnerie de brique et la toiture inflammable, on met fin de grands feux.

La photographie moderne et la fusion d’images : Sharon Johnson

Les droits d’auteur : Maryboro Lodge