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Voyagent pour affaires

Photographie d’archive en noir et blanc d’un homme en costume-cravate assis dans un fauteuil.

William Earle


WILLIAM EARLE, PASSAGER

William Earle est un homme d’affaires talentueux. Marié, il a quatre enfants. Son père, ses frères et lui sont tous partenaires dans la compagnie Earle and Sons – marchands de poisson et d’articles généraux. L’entreprise a des bureaux sur l’île de Fogo, sur les îles de Change et à St. John’s, où est basé William. Un billet de dernière minute en poche, William part pour Halifax pour ses affaires.

Photographie d’archive en noir et blanc d’un homme en uniforme portant une casquette à visière.

Ralph Burnham.


SIX RECRUES DU ROYAL FLYING CORPS, PASSAGERS

La Première Guerre mondiale, maintenant dans sa quatrième année, a un besoin continu de soldats. Répondant à l’appel, Edward Berteau, Frank Chown, John Carnell Parsons, Newman Sellars et le lieutenant Fred Snow vont tous à Halifax. Ils se dirigeront ensuite vers l’ouest en direction de Toronto pour joindre le Royal Flying Corps (RFC), l’armée de l’air britannique. Fred Snow s’est arrangé pour pouvoir partir avec les autres. John Parsons a choisi le RFC pour faire plaisir à sa mère inquiète. Ralph Burnham, un vétéran, a lui aussi choisi l’armée de l’air. Maintenant remis de ses blessures, il est aussi inscrit pour l’entraînement à Toronto.

WILLIAM MOORE, PASSAGER
William Moore, 43 ans, est commerçant et chef d’une grande famille. Quand son frère est mort, il y a à peu près un an de cela, William a repris son magasin de chaussures à St. John’s. Parallèlement, la belle-sœur de William, Edna, désormais veuve, et sa nièce Olive, âgée de quatre ans, se sont installées chez William et sa famille (sa femme Laura et leurs deux enfants).

William a donc beaucoup de raisons de faire prospérer le magasin de chaussures. Il part à New York pour se procurer des chaussures dernier-cri pour les saisons à venir.

« Je me souviens du premier Noël que nous avons passé là. Nous avions une grande chambre en haut à l’arrière de la maison. Comme les autres chambres, elle était chauffée par une cheminée – le seul mode de chauffage en ce temps-là. Je me souviens bien de cette cheminée parce que, la nuit, je me suis faufilée hors de mon lit dans l’obscurité pour vérifier si le Père Noël était descendu dans la cheminée »

Olive Moore Kress, nièce de William Moore

Photographie d’archive en noir et blanc d’un homme en costume-cravate.

James Crockwell.


PASSAGERS SE RENDANT À HALIFAX POUR Y TRAVAILLER
À peine sept semaines plus tôt, Halifax avait été dévastée par la terrible explosion d’un navire rempli de munitions dans le port. La ville a cruellement besoin de charpentiers et autres artisans du bâtiment pour le travail de reconstruction

Photographie d’archive en noir et blanc d’un homme moustachu en costume-cravate.

Gregory Mullowney.

Les cousins James Crockwell et Gregory Mullowney, tout comme John Lynch, Leonard Nicholl et George Puddister embarquent tous sur le Florizel avec pour objectif Halifax. Ils sont désolés des ravages qu’a causés la tragédie mais, ayant des familles à nourrir, ils se réjouissent de l’opportunité d’un travail stable

Photographie moderne en noir et blanc d’une chaise de salon en bois au siège recouvert de tissu.

Chaise de salon.


CHAISE DE SALONR
Cette chaise, offerte par l’Admiralty House Communications Museum au début 2018, a passé de nombreuses décennies dans un grenier de Ferryland. Elle provient très probablement du Florizel et s’accorde avec celles qu’on peut voir dans le grand salon du bateau. Cela invite à se demander qui la vit en dernier avant que « tout s’effondre » sur le navire.

Photographie moderne en noir et blanc d’un détail de la chaise de salon.

Détail de la chaise de salon.