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La villégiature : des lieux riverains recherchés

Nos espaces riverains sont utilisés dès le début de la colonisation par nos habitants comme espace de détente. On y pratique de nombreuses activités, comme la baignade et même le ski nautique.

 

Photographie en noir et blanc d’une maison blanche et d’un petit bateau de plaisance amarré à un quai en pierres grises.

Le luxe d’amarrer son bateau dans sa cour

 

On voit aussi l’apparition de « clubs » dédiés aux loisirs. Le Ste-Rose Boating Club en est le meilleur exemple. On y pratique différents sports, mais surtout on passe du bon temps lors de leurs fameuses soirées festives.

L’île Jésus offre également, dès le début du développement urbain de Montréal, un lieu de repos pour les citadins. Au tournant du 20e siècle, l’île n’est plus seulement un lieu d’agriculture et d’habitation. Qui croirait aujourd’hui que nos berges étaient prisées par les vacanciers montréalais?

 

Photographie en noir et blanc montrant trois chalets en bois entourés d’arbres au bord d’une rivière.

La rive de Ste-Rose Ouest

 

Le tourisme devient un apport économique important pour la région. De grandes maisons et des petits chalets se construisent sur les rives. Ce sont parfois même des familles d’ici qui louent leur résidence principale à des visiteurs pour quelques semaines.

L’île offre un éventail de choix aux vacanciers avec ses nombreuses plages, dont la plage Idéale, la plage Sainte-Rose, la plage Barbe et la plage Jacques-Cartier. Chacune présente différents attraits. Par exemple, à la plage Idéale on peut se lancer sur la piste de « go-karts ». Laval, une destination de choix, d’hier à aujourd’hui!

 

Photographie en noir et blanc d’une plage montrant des chaloupes et de nombreux baigneurs. La plage est bordée de nombreux arbres.

Plage-Laval, de plage à municipalité en 4 ans!